JAPON PERDU

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Une évocation lumineuse des arts et paysages traditionnels du Japon

Au début des années 1970, Alex Kerr, jeune étudiant américain, acquiert une maison abandonnée, plusieurs fois centenaire, sur l’île japonaise de Shikoku. Ce sera le point de départ d’une vie d’écrivain, d’antiquaire, d’expert érudit et passionné du Japon.

Ecrit à l’origine en japonais, ce récit enchanteur y suit les pérégrinations de l’auteur pendant une trentaine d’années. Un plongeon, suave ou déroutant, dans l’architecture, les arts traditionnels, la calligraphie, le théâtre kabuki, l’histoire et la vie contemporaine de l’archipel nippon, des vallées reculées aux grandes métropoles modernes. Le pays du soleil levant jetait alors les derniers reflets de sa nature luxuriante et de campagnes préservées.

Nostalgique de ce monde perdu, critique de la quête effrénée de modernité, si destructrice du patrimoine culturel et naturel, Alex Kerr continue pourtant d’aimer le Japon de tout son être. Ce livre annonce sa perpétuelle renaissance.

320 pages
Traduit de l’anglais par Guillaume Villeneuve
Carte
Format 14 x 20,5 cm
ISBN 978-2-87523-149-9
Couverture brochée avec rabats

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Une évocation lumineuse des arts et paysages traditionnels du Japon

Au début des années 1970, Alex Kerr, jeune étudiant américain, acquiert une maison abandonnée, plusieurs fois centenaire, sur l’île japonaise de Shikoku. Ce sera le point de départ d’une vie d’écrivain, d’antiquaire, d’expert érudit et passionné du Japon.

Ecrit à l’origine en japonais, ce récit enchanteur y suit les pérégrinations de l’auteur pendant une trentaine d’années. Un plongeon, suave ou déroutant, dans l’architecture, les arts traditionnels, la calligraphie, le théâtre kabuki, l’histoire et la vie contemporaine de l’archipel nippon, des vallées reculées aux grandes métropoles modernes. Le pays du soleil levant jetait alors les derniers reflets de sa nature luxuriante et de campagnes préservées.

Nostalgique de ce monde perdu, critique de la quête effrénée de modernité, si destructrice du patrimoine culturel et naturel, Alex Kerr continue pourtant d’aimer le Japon de tout son être. Ce livre annonce sa perpétuelle renaissance.

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